Baisser sa fiscalité est devenu au fil du temps un impondérable. L’impôt est également aujourd’hui l’une des contraintes principales lors de tout investissement. Son importance est telle que réduire ses impôts pour certains contribuables est parfois la motivation première pour investir.
Cette fiscalité est d’ailleurs plurielle. Sauf pour des cas particuliers, tout capital ou tout revenu est “normalement” imposé. Dans cette rubrique, nous allons exposer les solutions existantes pour palier à cela. Il existe en effet plusieurs possibilités d’action pour économiser de l’impôt ou encore s’en servir d’effets de levier. Ainsi, ces mécanismes permettent de minimiser le caractère confiscatoire de l’impôt.
Il existe en France un certain nombre d’impôts sur lesquels il est toujours possible d’agir et ainsi optimiser vos gains et votre patrimoine.
- l’Impôt sur le Revenu des personnes physiques (IRPP),
- l’Impôt sur la fortune immobilière (IFI)
- les revenus catégoriels (exemple : revenu foncier, Bénéfice Industriel et Commercial…)
Depuis 1991, les prélèvements sociaux ont vu le jour. Leur pourcentage a peu à peu grandi pour aboutir aujourd’hui à 17,2 % ! Ces prélèvements sociaux sont également une charge à considérer. Ils sont calculés sur le gain net engendré. Agir sur les revenus catégoriels déclarés permet de les minimiser.
Il existe heureusement des procédés ou des placements à privilégier si l’on souhaite contrôler où va son argent voire savoir à quoi il va servir…
Evidemment, selon la classe d’actif ou l’enveloppe fiscale, le calcul va varier. Il existe des options, notamment concernant les revenus immobiliers mais aussi pour les valeurs mobilières. Des lois aménageant la fiscalité, il en existe beaucoup en France.
Baisser sa fiscalité : Impôt sur le Revenu (IR) et et Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI)
Il existe plusieurs possibilités pour diminuer sa fiscalité (voir le site de l’administration fiscale). Il faut avoir à l’esprit les différentes formes de calcul pour mieux déterminer le rendement net de ses investissements ou l’effort financier à rétrocéder à l’administration fiscale pour mieux s’y retrouver dans ses dépenses :