Comprendre les OPCVM sur son assurance vie. Comment les choisir ?

Les OPCVM permettent de diversifier et de rechercher un rendement plus important que le fonds en euros qui concentre quant à lui la part la plus importante des avoirs des épargnants. 

Après avoir vécu une période longue de taux anormalement bas, ayant évidemment eu des répercutions sur les emprunts des Etats, des taux de financement faibles (plus bas que l’inflation) ainsi que sur les livrets réglementés aux rendements modiques (livret A…), cette période est bien révolue depuis les augmentations des taux directeurs des banques centrales. Le but de cette hausse est évidemment de juguler l’inflation. 

Il existe des solutions moins corrélées aux taux. Je vous propose dans ce texte une possibilité classique d’investissement puisqu’il s’agit de nous intéresser aux unités de compte (UC) et notamment aux Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM).

Les UC sont simplement des unités de mesure standardisées qui représentent une valeur qui peuvent être échangées. 

Un OPCVM est un fonds d’investissement de valeurs mobilières géré par une société dont c’est le métier (Asset manager). Son rôle est de collecter de l’argent auprès des particuliers ou de personnes morales  et de les placer sur une multitude d’actifs qui respecte la stratégie originelle du fonds (secteurs géographiques, typologie d’actifs, taille des société…).  Elle pourra ainsi investir dans des actions, des obligations, des instruments financiers, des devises, de l’immobilier, des métaux… Les OPCVM disposent d’un code ISIN qui les identifient et d’une structure de coûts connue. 

Ils peuvent être logés au sein d’assurances vie, de contrats de capitalisation, de PER, de contrats Luxembourgeois voire de PEA. On peut évidemment les loger dans un Compte Titre Ordinaire (CTO) ou pour certains investir en direct.

Les OPCVM prennent plusieurs formes : les Fonds Communs de Placement et les Sociétés d’investissement à Capital Variable (SICAV) sont les plus connus. C’est l’une des bases de la gestion privée. 

Il en existe d’autres : les ETF (Exchange-Traded Fund), les FCPR (Fonds Commun de Placement à Risque), les FCPI (Fonds Communs de Placement dans l’Innovation, les FIP (Fonds d’Investissement de proximité), les FPCI (Fonds Professionnel  de Capital Investissement, les FCIMT (Fonds Commun d’Investissement à Moyen Terme)…

Il en existe donc beaucoup de ces portefeuilles diversifiés disposant de leurs propres caractéristiques, leurs stratégies, leurs coûts….

Beaucoup de personnes ont peur des solutions boursières parfois « de manière irrationnelle ». Celle-ci est souvent due à une méconnaissance et des informations souvent biaisés qui en émanent. Les OPCVM ont été créés pour accompagner les épargnants en mutualisant les risques de leurs placements.

Contactez-nous afin d’être bien suivi tant sur le type d’allocation, la gestion du risque et de bien entendu de profiter des meilleurs contrats d’assurance vie du marché. 

Au choix nous vous proposons différentes gestions et les contrats les plus ouverts du marchés. Nous mettons évidemment l’accent sur la digitalisation et l’accompagnement. 

1.Les critères de décision des OPCVM

1.1 Vos caractéristiques, votre profil

Selon votre appétence au risque, le montant dont vous disposez à placer, vos revenus, votre capacité à absorber une fluctuation de la valeur de vos actifs, vos objectifs ou fiscalité, votre allocation va être dirigée vers des actifs disposant d’un « risque acceptable ou personnalisé ». Cette notion de prise de risque est désignée par ce qu’on appelle la volatilité. C’est-à-dire la variation de la valeur des actifs que vous détenez.

Votre profil de risque

Votre profil de risque est une détermination de la sensibilité que vous pouvez avoir par rapport à une fluctuation de la valeur de vos actifs.  Pour mieux chiffrer cela et donc mieux vous connaître, un questionnaire relatif à ces éléments doit être complété.

Au sein de comment Bien Investir, nous avons décidé de mettre en avant des facteurs décisionnels pour bien comptabiliser quel est votre réaction par rapport et biais cognitifs en réactions dans certaines situations. 

Généralement, le profil est de risque est qualifié de :

  • prudent
  • équilibré
  • dynamique

 A ces fins, il est important de déterminer :

  • Vos objectifs,
  • Votre horizon de placement,
  • Le niveau de performance voulu,
  • votre Volatilité acceptable,
  • Le montant d’investissement par rapport à la valeur globale de votre patrimoine.

1.2 La conjoncture

En bourse, il est logiquement préférable d’investir sur des points bas. Le potentiel de revalorisation sera logiquement supérieur. Si tout le monde est convaincu qu’il est plus intéressant d’investir dans une valeur « basse », la véritable question est de savoir qualifier un point « haut ».

D’une certaine manière, par le nombre d’actifs dont elle se compose, le risque est mutualisé, la volatilité y est plus ou moins lissé (selon la stratégie).

1.3 La durée d’investissement

Lorsque l’on investit dans des OPCVM, vous investissez dans une multitude de sociétés (obligations, actions) de devises, de dettes… On parle théoriquement de 5 années d’investissement dans un OPCVM pour pouvoir déterminer une tendance fiable. Il est évident qu’un OPCVM composé d’obligations ayant une duration plus faible (liquidé rapidement) n’a pas besoin d’autant de temps.

2. Les différents types de gestion

2.1 La gestion libre

Tout est lié au référencement des OPCVM éligibles. Cela varie selon votre contrat. Cette éligibilité évolue dans le temps. La gestion libre permet à l’assuré d’investir dans les unités de compte souhaités.

Durant la vie de votre portefeuille : l’arbitrage 

Au cours de la vie d’une UC, la conjoncture va évoluer, vous également. Afin de faire évoluer votre rapport à la volatilité, (si celle-ci change) mais également pour réorienter votre allocation (portefeuille d’UC) vers des fonds mieux adaptés, plus performants.

Le rôle d’un gérant de fonds est de sélectionner des valeurs, comme décrites dans le DICI et de les gérer. Cela impose à l’asset manager de vendre et d’acheter des actifs plus enclain à les satisfaire et à respecter leur cahier des charges.

L’arbitrage effectué dans un contrat d’assurance vie n’est qu’un réajustement du portefeuille par rapport à votre profil de risque, à la conjoncture et au potentiel de revalorisation.

2.2 La gestion pilotée

Il s’agit simplement de déléguer une partie ou la totalité de la gestion de votre portefeuille à un professionnel de la gestion d’actifs.

2.3 La gestion sous mandat

Vous laisser la totale liberté au gérant que vous mandater pour la gestion de votre portefeuille d’actifs. Vous élaborer un cadre suivant principalement votre appétence au risque et

3. La réglementation des OPCVM

3.1 Les Unités de compte et le risque

En finance, en règle général, pour tout ce qui touche de près ou de loin à un individu, la réglementation sera logiquement centrée sur la prise de risque de l’épargnant. Un OPCVM va être différemment volatile selon sa typologie. En effet selon qu’il soit investi en actions, en obligations ou autres, le rendement potentiel sera plus ou moins important. Il y a une corrélation entre le risque pris et le rendement. L’autorité des marchés financiers « distribuent » les accréditations et classifie l’OPCVM selon sa typologie et sa volatilité.

Notre rôle est vous adapter l’allocation et d’obtenir le rapport rendement par rapport au risque personnalisé le plus intéressant.

Où vérifier l’information ?

Chaque fonds dispose de documents réglementaires qu’elles diffusent sur le site où que l’on vous distribue lors de l’investissement. Il s’agit du DICI (document d’information clé pour l’investisseur). Autre document qui permet de mieux connaître le fonds et sa stratégie ainsi que les risques: le prospectus du fonds.

Sur ce document, par ailleurs, pour symboliser le risque est estimer le risque sur une échelle utilisé par tous. Cette dernière va de 1 à 7.

Voici un schéma de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) :

unités de compte

Cette indicateur met en exergue le rendement et la volatilité du fonds. Dans l’exemple de ce schéma, la note de 5 est inscrite. Cela permet d’avoir une idée de la variation du fonds par rapport à sa valeur moyenne. Il est estimé pour ce fonds une variation moyenne entre 10 et 15 % au-dessus et et également en dessous de sa valeur moyenne.

Ce n’est qu’un indicateur parmi d’autres… C’est un indice. Ni plus, ni moins. Cette information doit être confronté à votre horizon de placement, le risque moyen de votre portefeuille par rapport à votre profil investisseur.

Un OPCVM ne dispose pas du même risque selon les actifs qui le composent. La taille de l’entreprise, la maturité du secteur, le type d’entreprise…

4. Les différentes stratégies de gestions des OPCVM : gestion active contre gestion passive

Il existe une liste importante de stratégies dans le cadre des OPCVM.

Deux écoles se mesurent : la gestion active et la gestion passive. Si une dimension de long terme macroéconomique et diversifié surperforme une stratégie plus micro par exempLe (stock picking) refait surface.

Même si certains ETF dispose d’une gestion active, ils symbolisent majoritairement d’une gestion indicielle tandis que les Fonds communs de placement et les SICAV ont une gestion plus active. 

4.1 Gestion passive

La gestion passive est le fait de répliquer le marché. C’est une gestion indicielle qui suit le cours de son marché. Lorsque le marché (benchmark) fait + 1 %, votre portefeuille fait 1 %. Si il recule, vous faites de même. Il existe beaucoup d’OPCVM indiciel.

Il existe également des ETF (Exchange Trended Fund) ou Trackers : dans ces cas-là, vous répliquez totalement ou partiellement (avec une pondération) l’indice visé. Pour lire notre article sur le sujet : les ETF, fonctionnement.

4.2 Gestion active

La gestion active est le fait d’avoir une stratégie dont le résultat doit être meilleur que son indice, c’est à dire, le marché sur lequel se réfère votre investissement. Cet indice est aussi appelé « benchmark ».

5. Les différents types de gestion d’OPCVM

5.1 La diversification des OPCVM

Comme évoqué, il existe un nombre important de stratégies, de spécificités et spécialisations du gérant et des fonds d’investissement. Ces derniers sont indiqués dans les statuts et documents d’informations clés de l’OPCVM.

Il existe également des process différents dans la sélection des actifs détenus. De l’utilisation de « couvertures » (protections), d’instruments financiers, de la taille des sociétés visées, leurs maturités…

Tout cela permet de les classifier notamment selon leur risque (volatilité).

Pour résumer, un OPCVM est une structure d’investissement collective. Au-delà de cela, la modularité est totale.

5.1 Les différents catégories d’OPCVM

Les OPCVM obligataires

On y distingue :

  • les obligations d’états :  peu risqués et donc disposant d’un rendement faible.
  • les obligations corporates (d’entreprises) :

Selon le rating (la note) de l’émetteur, vont être distingués :

  • Les high yield : haut rendement et grosse volatilité
  • Les investment grade : les émetteurs sont plus solides financièrement

De la « qualité »de la dette de ces sociétés vont être établi un taux. Plus la société présente une solidité financière, plus sa dette présentera un taux faible.

  • Le obligations convertibles : il existe également des fonds composés de ce type d’obligations qui ont l’avantage de pouvoir se transformer en actions. Si, notamment le marché action remonte.

Les OPCVM actions

Il existe pléthore de stratégies concernant les OPCVM investis en actions. 

Ils pemettent de capter le potentiel de croissances des entreprises en mutualisant les risques grâce à la diversification des actifs. 

On peut trouver des  fonds cantonnés à la France, à l’Europe ou une autre « région du monde » (Asie, Japon, US…) sur toutes les places Boursières.

Les OPCVM monétaires

Ces OPCVM sont composés de titres de créances négociables, de bons du trésor ainsi que d’obligations ayant de faibles durations. Ces OPCVM sont plus destinés à la trésorerie, en position d’attente ou en complément du fonds en euros. Le rendement y est assez faible même si depuis l’augmentation des taux des banques centrales, ce dernier a augmenté. On s’en sert surtout pour leur sécurité. Les taux ayant baissés, les rendements y sont très très faibles et la sensibilité entre 0 à 0,5 %.

Les fonds à formules ou produits structurés

Ce sont des fonds commun de placement (FCP) ou des EMTN (Euro Medium Terms Notes). Il y a souvent une certaine passivité dans la gestion de ces fonds. Il en existe un nombre important dont la complexité est plus ou moins importante. On parle notamment de fonds à capital garantie ou protégé et enfin, de fonds à promesse.

L’objectif est de débloquer la liquidité à partir d’une date de constatation ou la valeur du jour est supérieure à la valeur initiale. Nous y reviendrons dans un autre article.

Les OPCVM à gestion alternative

Egalement appelé Hedge funds, la définition de ce type de fonds est plus compliqué à trancher puisqu’elle regroupe différentes stratégies. De la plus spéculative qui a généré mauvaise presse à cela à la performance absolue, reposant sur des techniques de gestion alternative, notamment long-short (ci-après).

Les OPCVM diversifiés

Il s’agit d’un OPCVM qui va avoir un une stratégie globale comportant plusieurs segments. En son sein, différentes typologies vont être investis : des actions, des obligations, des instruments financiers…

L’allocation est très variée et est évolutif en fonctions de facteurs économiques et suivant le »profil » de risque établi. (prudent, équilibré, dynamique).  Elle dispose d’un prisme large. Tous OPCVM ne rentrant pas dans les précédentes stratégies sont diversifiés.

6. Approche extra-financière

Nous avons vu une approche lié à des critères financiers, principalement. Mais il peut y avoir aussi des sélections faites par des éléments extra-financiers.

L’ISR (investissement socialement responsable)

Ce sont des fonds qui rentrent dans le cadre de l’ESG : l’environnement, le social et la gouvernance.

Ce sont des fonds qui mettent en avant des critères extra-financiers portés sur l’éthique. Je vais le 10 Février finaliser un article sur ce sujet. 

Thématique

En cette période longue d’opacité pour déterminer une stratégie ou pour tout simplement se protéger contre une volatilité latente mais palpable, il est ingénieux de décorrélé son portefeuille par des valeurs dans un vecteur porteur disposant d’une profondeur de marché intéressant.

Ce n’est pas nouveau, mais le domaine de la data, de l’eau, de la sécurité ou encore bien évidemment des nouvelles technologies, de la robotique disposent d’attraits logiquement porteurs. Il s’agit majoritairement de fonds Durable. C’est à dire de fonds focalisés focalisés sur des sociétés disposant de critères durables : environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG).

Solidaire

5 % de l’actif est consacré au projet de solidaires. Insertion au travail ou logement…

Ethique

Le fonds est directement focalisé sur une activité qui rentre dans un cadre écartant des univers d’investissements qui porte atteinte aux bonnes moeurs.

7. Les stratégies employées

Ceci ne reprend l’ensemble des stratégies employés par les gérants. Toutefois, elle en liste synthétiquement les plus utilisées dans les fonds. Cela vous montre l’ensemble des stratégies applicables. Cela permet surtout de constater une partie de stratégies employés et le prisme large des risques, des effets, des objectifs lorsque l’on parle de bourse ou d’OPCVM. Le métier est large…

La gestion indicielle

Il s’agit benoîtement de répliquer un fonds. C’est à dire de dupliquer et de suivre un indice ou un portefeuille de valeurs. Ces types de fonds sont moins coûteux en frais. Les ETF et les trakkers utilisent bien entendu cette technique. Il n’y a pas d’arbitrages ou techniques pour se distinguer. Un fonds benchmarké pourra quand à lui s’écarter plus du trend (tendance) qu’il a pour modèle.

L’absolute return ou performance absolue 

Il s’agit à contrario de l’indiciel qui va plutôt se baser sur une tendance haussière, d’aller ici chercher de la performance. Même lorsque les marchés baissent. Le but est d’avoir des performances positives. Elles peuvent avoir des positions courtes, décorrélés des marchés. Il y a une démarche plus lié au stock picking et centré sur des instruments financiers. Ces fonds s’inspirent des fonds alternatifs.

Flexible

Ce sont des fonds diversifiés opportuniste qui s’adapte selon la conjoncture économique. Dans les DICI, il vous est inscrit la variation prévu d’actions et d’obligations dans le fonds et son plafonds. Dans ce type de gestion, potentiellement, le fonds peut être composé de 100 % d’actions où ne pas en disposer du tout.  Idem concernant les obligations. C’est une stratégie extrêmement souple. Le seul cadre est la qualification du risque. Un pourcentage d’actions ou d’obligations sera donc à respecter.

Long – Short 

Long : investir dans des valeurs à la hausse. C’est une stratégie simple d’acquisition d’une action avec un objectif de revalorisation à la hausse. Qu’elle prenne de la valeur.

Short : vendre des valeurs moins solides, sur le même secteur. C’est une sorte de spéculation à la baisse. Le gérant fait une plus-value à la vente, si la valeur diminue.

Cette stratégie consiste à « couvrir » ses positions afin d’attendre une performance globale.

Une Couverture macro est une stratégie qui est centrée sur les opportunités d’achat. Elles envisagent de se prémunir d’une baisse à une échelle macroéconomique telles les option d’achat…

L’approche selon l’échelle d’investissement :

Global macro 

La stratégie consiste à visualiser les performances sous un angle macroéconomique. C’est à dire que ce sont des tendances qui vont sortir des études effectuée. Les choix des classes d’actifs se fait en privilégiant des analyses de  projections d’agrégats économiques.

Stock picking (opposé à une vision macroéconomique)

Cette stratégie est tournée vers la notion du choix des valeurs par rapport à une liste. Cette dernière dépend bien sûr de la structure du fonds. Il permet selon des éléments définis de sélectionner un certain nombre de valeur qui figurerons dans le fonds.

OU ⇒ enterprise picking : Il s’agit d’une stratégie proche du privat equity. Les actifs sont choisis selon le potentiel de la société. Que ce soit par rapport à une décote à l’acquisition ou à des avantages sur la concurrence,

Les autres stratégies : 

Situations spéciales 

Les valeurs investis vont l’être par la qualité spéciale qui agit sur la valeur de l’action. Par exemple, des société en phase de recapitalisation, reconstruction ou tous valeurs ayant des perspectives de revalorisations décorrélés des marchés ou chahutées par un fait quelconque.

Market neutral

Le but est de décorréler le fonds des marchés financiers. Ce sont des fonds axés sur les actions qui recherchent un indice beta faible. En d’autres termes, le but de cette stratégie est d’éliminer au maximum le risque de marché !

Conclusion

Un OPCVM n’est donc pas du tout égal à un autre. Il existe beaucoup de possibilités à l’heure actuelle pour user de stratégies sur un horizon de placement supérieur à cinq ans ayant des possibilités attrayantes. Il est clair qu’il faut avoir les instruments et les connaissances ad hoc.

Selon la typologie d’actifs, la conjoncture, sa stratégie, ses sous-jacents, cela peu varier énormément. Et dans le rendement, et forcément dans sa volatilité voire la corrélation de votre portefeuille d’actions. Cela joue sur la durée envisagée de placement.

L’importance est d’appliquer une stratégie et de la faire évoluer au fil du temps…

L’autre interrogation est de savoir quel choix d’OPCVM et avant tout quel stratégie employer…

N’hésitez pas à nous solliciter et avoir notre opinion sur votre situation, pouvoir communiquer par mail ou au téléphone. L’échange est gratuit.

Nous pouvons également vous accompagner dans la gestion de vos actifs à travers des contrats d’assurance vie à architecture ouverte et une gestion libre ou sous mandat. Les coûts sont faibles voire nuls suivant les cas.

Pour être bien accompagné dans vos placements ou avoir des informations sur un contrat d'assurance vie adaptée,
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