L’un des « marronniers » des journaux spécialisés en gestion de patrimoine ou autres sites commerciaux est l’article qui « élit » le placement ou investissement le plus rentable (ou classe d’actifs).
Ainsi, il est régulier de trouver des classements plus ou moins objectifs dont les conclusions tranchent vers l’actif le plus rentable pour celui qui diffuse le texte. Même si les tendances qui en découlent sont logiques, elles se doivent d’être tout de même nuancées.
En effet, le succès de votre investissement dépend aussi beaucoup de la période à laquelle il est fait ainsi que sur sa durée. Par ailleurs, il faut également considérer le rendement toutes charges compriuses. Il faut de se fait pointer la fiscalité employée.
La qualité de ou des actifs dans lesquels vous investissez ou leur gestion ont également une importance capitale.
Enfin, pour qualifier un placement, il est obligatoire de constater des données chiffrables et quand nous le pouvons, de l’historique de la société de gestion notamment enpèriode de turbulances. La vérité d’il y a six mois, dix ans, vingt ans n’est pas la même que celle présentement. Tout évolue et la période que l’on vit est là pour le rappeler chaque jour…
Revue des classes d’actifs les plus courantes
Tout ne peut se résumer à quelques lignes mais il est intéressant de comparer les actifs les plus prisés tout en les confrontant à la période exceptionnelle que nous vivons…
En ce moment, nous vous remboursons jusqu'à 3 % sur vos investissements dans des parts de SCPI !*
Notre rapport à la vie en entreprise, à l’économie changent. De nouveaux investissements naissent et d’autres sont plus ou moins utilisés. L’es taux d’inflation évoluent rapidement et pour juguler cela, les taux directeurs également.
Au fil du temps, d’autres élément importants voire capitaux s’invitent également peu à peu dans le « modus operandi » des entreprises ou dans nos choix d’investissements. Il s’agit par exemple de motivations sociales et environnementales. Vous trouverez d’ailleurs des informations sur l’ISR et les RSE sur ce site. Le cadre de ces éléments nouveaux évoluent grandement.
Afin d’évaluer les classes d’actifs, Nous avons établi un comparatif sur une échelle allant de 0 à 5 et matérialisée par des étoiles. Larentabilité est ainsi jugée, la volatilité (variation de la valeur du placement) et la liquidité (la possibilité de récupérer votre argent facilement). Concernant la volatilité, l’échelle est inversée : plus l’investissement est peu volatile, plus il y a d’étoiles.
Voici la légende concernant les étoiles :
Totalement
cela dépend des cas
Pas du tout
La première sécurité pour se garder d’une grosse perte à long terme est de diversifier. La diversification est essentielle à la bonne gestion de votre patrimoine. Il est important également de confronter votre rendement à la fiscalité appliquée et à l’inflation pour avoir une réelle objectivité sur les chiffres transmis et les comparer à vos objectifs.
Quel investissement est le plus performant depuis 15 ans ?
La bourse / actions
Rendement
Volatilité
Liquidité
Sur une période longue, les études concernant la bourse montrent un rendement supérieur aux autres placements (au-dessus de 20 ans), ce qui fait des actions sur du long terme, le placement le plus rentable. La volatilité est d’ailleurs diluée grâce à une période d’investissement plus long.
Il s’avère que les marchés boursiers sont par nature volatils. Garder un cap permet de mieux vivre les périodes de turbulences. Forcément, l’économie n’étant pas statique, il faut parfois effectuer des arbitrages.
Il existe plusieurs manières d’investir en bourse : titres vifs, instruments financiers, OPCVM (SICAV et FCP), ETF, produits structurés… Hormis certaines techniques bien précises, habituellement, l’horizon de placement est long.
Les statistiques boursières sont étonnantes puisque le rendement moyen peut changer considérablement en fonction du moment d’investissement. La stratégie doit être cohérente et l’allocation adaptée en fonction de votre appétence au risque.
En 2022, le paradigme a changé. Les taux directeurs ont augmenté et l’inflation est à nouveau présente. Les liquidités abondantes des politiques accomodantes sont beaucoup moins importantes et le quantative easing n’est plus utilisé…
Contactez-nous pour voir comment nous pouvons vous accompagner dans cette période.
On trouve une corrélation intéressante et finalement assez logique entre l’immobilier d’entreprise (valeur vénale) et la bourse. Les deux sont assez révélateurs de la santé de l’économie puisque assujettis à la croissance et à l’emploi. En revanche, l’amplitude moyenne des deux marchés n’est évidemment pas la même.
Les SCPI de rendement sont composées majoritairement d’immobilier d’entreprise. Cela engendre par nature un rendement plus important que l’immobilier à des desseins d’habitation. Souvent pour accéder à ces biens immobiliers loués par des sociétés, les investisseurs vont se tourner vers des véhicules d’investissement tels les SCPI voire des SCI qui s’acquiert via des parts sociales pour des montants potentiellement très bas.
Depuis la baisse des taux, les SCPI sont l’un des placements préférés des français. Elles bénéficient depuis des années d’un afflux d’argent massif.
Par la diversification des actifs et la qualité des locataires, cela en fait un placement disposant d’un rapport rendement-risque avantageux. Sur du long terme, vous bénéficiez de l’immobilier tout en ayant une liquidité normalement réelle et stable. Investir dans des SCPI reste un investissement rentable à condition de penser à sa fiscalité…
Quid de l’année 2023 et de l’après confinement ? Les taux et également les défauts seront à scruter particulièrement en cette année.
Les taux de crédit ont un effet sur la valeur de la pierre. Cela est plus le cas en tous les cas pour l’immobilier résidentiels majoritairement acquise à crédit. Pour l’immobilier d’entreprise, l’emprise d’une augmentation des taux est moins importante.
D’autres élements peuvent inciter à continuer dans cette solution. Les baux sont corrélés à l’inflation. Les rendements devraient donc augmenter à moyen ou long terme. De plus, l’immobilier reste une valeur refuge. Il faudra durant cette année bien regarder les valeurs de reconstitution. Privilégier en diversification les jeunes SCPI qui peuvent acheter au prix peut être une bonne solution.
Il y a une importance de choisir des Société Civile de Placement Immobilier qui disposent d’un « report à nouveau » important et des liquidités. N’hésitez pas à lire notre article sur le cahier des charges pour bien choisir une SCPI !
Les OPCI (Organisme de Placement collectif Immobilier)
Rendement
Volatilité
Liquidité
Un OPCI est un fonds immobilier dont la particularité est d’avoir potentiellement en son sein, des actifs financiers. Sa part immobilière est composée d’immeubles acquis en direct et de sociétés qui gèrent de l’immobilier. Un OPCI peut également investir dans de l’immobilier coté (foncières).
Elle a cette capacité, contrairement à des SCPI de pouvoir également investir jusqu’à 35 % d’actions ou instruments financiers. Cela en fait un investissement plus volatil que les SCPI mais sur du long terme, potentiellement plus rentable. Les chiffres évoqués pour le TRI ne vont pourtant pas dans ce sens. Il faut mesurer toutefois les TRI puisqu’on trouve dans les OPCI des rendements très disparates.
Les foncières cotés ou Sociétés d’Investissement Immobilier Cotés (SIIC) sont des sociétés qui acquièrent des actifs immobiliers à la manière d’une Société Civile de Placement en Immobilier (SCPI). Elles sont encore plus liées à l’activité économique puisque cotées en bourse.
Commes les SCPI, elles sont diversifiées sectoriellement (commerces, bureau, industrie, santé, résidences de service…) et géographiquement. Elles ont recours à l’endettement et disposent d’une transparence fiscale. Les taux de crédit étant bas, la période fut propice aux gérants qui se sont beaucoup endettées pour acquérir des actifs immobilier au rendement important.
Le gap entre le rendement des loyers (venant d’entreprises) et le coût du crédit était très favorable sur une période longue.
Elles partagent également les mêmes indicateurs que les SCPI : le Taux d’Occupation Financier (TOF) et la gestion du parc immobilier sont à étudier avant de se décider. C’est un placement hybride puisque les sociétés sur lesquelles vous investissez sont liées aux biens immobilier qu’elles acquièrent et à leur gestion.
La comparaison s’arrête là. En effet, la volatilité (le risque) ainsi que les gains potentiels sont largement supérieurs. Les foncières étant des sociétés cotées en bourse, le risque de perte en capital est donc plus important. Elles ont également plus recours, dans la pratique à l’endettement.
Ces dernières 10 ou 15 années, les foncières cotées ont même eu un rendement supérieur aux actions !
Les foncières cotées peuvent être placées dans un compte-titres ordinaire. Il y a une possibilité de placer sur un Plan d’Epargne en Action (PEA) dans le cadre d’un ETF.
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Une cryptomonnaie également appelée cryptoactif, cryptodevise est une monnaie numérique.
Il y aurait tant à dire sur ce thème. Beaucoup d’incertitudes et pourtant tellement encré dans l’avenir…
Après les évènements récents de 2022, certaines cryptomonnaies ont été mises en difficultés. Certains acteurs ont même fait faillite. Cela a montré le caractère fragile d’un actif que l’on considère comme une alternative crédible mais dont le rôle qu’elle peut jouer n’est encore qu’aux prémices.
Peu à peu, nous voyons ces monnaies nouvelles progresser ou mourir. Ainsi, la classe des actifs est très hétéroclites. D’un placement comparé à l’or pour ses qualités de « réserve de valeur » par des observateurs, on a pu constater des problématiques quant à des investissements nouveaux dont la réglementation et le caractère global est encore à affiné.
Il existe maintenant des acteurs spécialisés qui se concentre sur le risque et proposent des solutions de diversifications patrimonialement intéressants.
Bientôt, nous ferons un article sur le sujet. Inscrivez-vous à notre newsletter afin de le recevoir…
L’or peut être investi sous plusieurs formes. L’or physique est matérialisé par des lingots, lingotins ou des napoléons. Il peut également être investi dématérialisé, en investissant sur son cours (OPCVM, ETF) ou par des produits dérivés. C’est ce que l’on appelle l’or papier. Il est enfin possible de placer son argent directement dans des mines d’or. Je ne souhaite pas recommander cette forme d’investissement très volatile voire incertaine. Vous trouverez des informations plus détaillés dans notre article sur le sujet.
L’or est avant tout un actif de diversification. Il est souvent utile en cas de récession… On l’évoque souvent comme une valeur refuge.
La pratique depuis 2005 a démontré que cela ne reste qu’une théorie et l’or peut être rentable voire supporter de vraies pertes. Il suffit de regarder sa courbe depuis cette date pour s’en persuader.
L’or ne procure pas de dividendes et ne génère pas de loyers. Souvent comparé à des placements immobiliers ou financiers, l’or ne compte que sur sa valorisation. Etant donné son caractère tangible, sa capacité à se façonner pour transformation en bijoux, il peut être utile de se poser la question de l’offre d’ici 20 ans…
La fiscalité est encore une fois, une chose importante à vérifier. Elle peut prendre plusieurs formes : dans le cadre de fonds d’investissement, elle est considérée comme une valeur mobilière. L’or peut aussi être logé sur une assurance vie. Enfin, l’or physique a également sa propre ossature fiscale.
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L’investissement dans les bois et les forêts en direct ou à travers des Groupements Fonciers Forestiers (GFF) permet d’acquérir une partie ou la totalité d’un massif forestier. Cet « actif vert » qui a une tendance haussière ainsi qu’une absorption de la valeur à l’IFI (à hauteur de 75 %). Il est évident que l’investissement dans cette typologie ne doit pas être votre socle d’investissement primaire. Ce placement est très peu liquide. Au-delà de ce risque de liquidité, il est corrélé aux aléas météorologiques, aux champignons et autres bactéries que peut subir le bois…
C’est une valeur refuge. En temps d’introspection, le bois est un investissement vert qui devrait prendre de la valeur et dont l’actif se préserve pour une fois de la fiscalité. Elle est même largement diminuée. Cela en fait un attrait supplémentaire. Idéale pour les personnes qui souhaient un investissement délégué, où les fonds peuvent être immobilisés sur du long terme et qui ont une TMI importante…
Indice d’évolution en valeur courante du prix moyen annuel des forêts non bâties
Comme pour l’or, il existe une multitude de formes pour investir dans le vin. Vous pouvez évidemment acquérir des bouteilles (anciennes ou primeurs), investir dans des fonds ou indices et enfin dans des groupements fonciers viticoles… C’est donc une notion large et variée.
Dans le cadre d’une diversification patrimoniale, investir dans des vins ou des Groupements Fonciers Viticole (GFV) peut être dans certains cas intéressants. Investir dans un actif que l’on apprécie et que l’on peut même déguster (évidemment dans certains cas) peut s’avérer être appréciable.
Il faut également bien regarder sur quoi on investit. Des pertes d’argent ou des escroqueries n’ont pas été rares dans ce domaine très prisé.
Nous ferons un article détaillé sur cette possibilité très bientôt…
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Des livrets réglementés, le plus connu est le livret A (ou bleu). Il s’agit du livret le plus souple, la liquidité y est totale.
En 2023, son rendement est de 3 % au 1 er Février. Un livret A, tout comme le LDDS sert avant tout à garder des liquidités en cas de besoin. C’est de l’épargne de précaution mais rémunéré (très faiblement). Celui-ci reste plus faible que l’inflation. Il reste cependant meilleur qu’un compte épargne. Même si celui-ci est plafonné…
Il existe également le PEL. Ouvrir un PEL n’avait plus beaucoup d’intérêts. Seuls les anciens PEL pouvaient avoir une petite légitimité. Vous trouverez plus d’éléments dans l’article sur le sujet.
Le fonds euros est un placement qui a comme vous le savez certainement bien baissé depuis bien des années. Je vous laisse prendre connaissance de cet article concernant les causes de ce changement qui, souvent à mauvais escient, est appelé rendement de l’assurance vie.
Il est clair que cette exclusivité française a subi ces dernières années la baisse des taux directeurs. Il est dans le collimateur des banques et ses beaux jours étaient jusqu’à présent « derrière lui »…
Le risque étant couvert par les banques, le fonds en euros a engendré une certaine friabilité. En effet, dans cette période étonnante de taux bas, voire négatifs (OAT de certains pays), les règles de bons sens ont été outrepassées. Un nombre important de risques structurels s’en sont suivis.
A l’heure actuelle où l’on voit les taux augmenter à nouveau, différentes questions subsistent…
A quel moment va-t-on voir les taux de rendement augmenter sur les fonds en euros. En effet, les obligations liquidées actuellement (composant ces fonds en euros) sont à un taux équivalent aux achats de nouvelles d’obligations. Il faudra donc attendre de liquider les obligations émmises il y a quelques année lorsque les taux avaient bien baissés (en dessous du taux actel) afin de voir son rendement augmenter de manière significative.
Les fonds en euros sont également cadrés dans leur fonctionnement et plafonnés dans leur montant d’investissement. N’hésitez en aucun cas à nous solliciter pour être conseiller. C’est un vrai sujet.
L’immobilier peut prendre bien des formes et des usages hétéroclites. On a tendance à distinguer l’immobilier en France par nature presque « immuable » et au-dessus des aléas économiques. Cela n’est évidemment pas exact. On parle souvent d’exception française mais si une bulle immobilière ne s’est jamais révélée, c’est bien par rapport à une configuration économique particulière ainsi qu’à une considération particulière de la particulier.
La demande de logement en France est supérieure à l’offre et il existe dans le parc immobilier une partie importante trop ancienne et insalubre à rénover. C’est une réelle question économoique et sociale.
L’autre aspect que l’on ne met pas forcément en avant est la caractéristique de l’immobilier dans l’économie française. Dans une économie globalisée, avec un Etat fédéré par une union Européenne, ne disposant plus de sa monnaie, ni de sa banque centrale, l’un des plus gros secteurs sur lequel l’Etat a encore du pouvoir est l’immobilier.
Par ses lois, elle stimule ou canalise le marché. Ce pan de l’économie représente une part assez importante du PIB. Il est donc logique que ce secteur soit stimulé par certaines lois.
Les craintes actuelles résident dans l’augmentation des taux. Cela peut avoir une incidence au sujet de la valeur globale de l’immobilier. Il y a une corrélation entre les taux et les prix des biens. Plus les taux d’intérêt augmentent et plus la demande baisse. Cela a pour effet de baisser le prix global du marché.
La location meublée notamment dans les résidences de service est de plus en plus utilisée afin d’investir dans l’immobilier. La délégation de gestion, la fiscalité en tant que Bénéfice Industrielle et Commerciale et bien entendu le bail commercial en sont les principaux atouts.
En cette année 2023, le risque principal reste le prix de l’immobilier qui peut bien entendu vaciller. Ce pourra provoquer également des opportunités…
Dans cet investissement, la pierre angulaire reste la gestion de la résidence.
L’activité économique est basée sur forme d' »hostellerie ». Attention également à la fragilité d’un secteur qui a déjà souffert de la concurrence de l’économie collaborative (airbnb)…
Il risque, comme pour les SCPI d’y avoir des variations de prix dues entre autres aux taux de crédit.
Les bureaux en France sont un actif pouvant avoir un intérêt fort attractif et rentable. Il y a une forte demande pour ce type d’actifs. Le rendement est souvent plus important que sur l’immobilier d’habitation.
La configuration du marché est différente et ne répond pas aux attentes ou au plafonnement que peuvent subir potentiellement l’immobilier des particuliers. Il y a également, pour le moment une certaine attractivité économique de la France qui booste ce type d’actifs.
Le ticket d’entrée n’est pas à la portée de tout le monde car souvent au-dessus de 400 000 €. C’est pourquoi, il est possible de trouver ce type d’immobilier dans beaucoup de véhicules d’investissement tels que dans les SCPI ou des OPCI.L’investissement étant mutualisé, le versement initial peut être modulé. On le retrouve également dans des fonds d’investissement professionnels spécialisés (FPS).
Généralement, dans les grosses villes où la tension locative est importante, il y a peu de vacances locatives. Il est important de pointer les risques liés depuis le Covid-19 au télétravail. Cela a eu un effet globalement marginal sur l’immobilier. Il est important de regarder l’évolution de ce phénomène. Enfin, comme pour l’immobilier résidentiel, il est important de regarder les taux de crédit. Enfin, par temps d’inflation, on assiste à une augmentation des loyers et donc du rendement.
Une baisse des taux peut également engendrer une baisse de prix et donc d’opportunités intéressantes…
Il y aura également sur ce sujet des articles à paraître sur le site.
Une SICAV monétaire est une société d’investissement à capital variable qui va investir dans des titres de créances négociables (TCN), de bons du trésor et d’obligations à court terme.
Il y a l’idée de sécurisation par l’actif en lui-même et sa durée de vie. En effet, plus une duration est courte, plus celle-ci minimisera le risque.
En rasison de la baisse des taux directeurs, ces fonds ne sont plus intéressants. Cette longue période de taux bas a complètement, créé un désintérêt pour cela. Il sera intéressant de voir ces actifs avec la remontée des taux directeurs.
Une obligation est un titre de créance. Un émetteur s’engage à rembourser à l’échéance et à servir au porteur un intérêt annuel. Ce dernier est totalement indépendant de ses résultats puisque le rendement est fixé et corrélé aux risques. L’émetteur peut être une entreprise où un état.
Investir dans un Etat solide économiquement ou une petite entreprise tout juste connue régionalement dans un secteur d’activité restreint n’est évidemment pas la même chose. Il existe d’ailleurs une classification de la dette suivant son risque. Le high yield signifie haut rendement alors que l’investment grade correspond aux obligations dont l’émmeteur est le mieux noté. Le principe étant le même, L’investissement n’a de semblable que le nom et la structure.
Les états les plus sûr disposent de taux d’emprunt très faibles. Pour un temps délaissé, les taux directeurs ont remonté. Il commence à y avaoir un intérêt au moment où les marchés actions sont plus risqués. Nous n’allons pas résumer les obligations dans cet article mais l’une des notions importantes est la durée (duration).
Il est possible d’investir dans des OPCVM pour accéder à cette classe d’actifs. On retrouve cette structure obligataire également dans les produits structurés et même dans certaines formes de crowdfunding.
Enfin, les fonds datés sont actuellement utilisés et proposent de vrais atouts.
Il s’agit avant tout d’une solution hybride ou une obligation va dupliquer un indice ou une action voire un panier d’actions. L’avantage est évidemment la modulation de la durée, du rendement et des barrières de risque…
Lorsque les taux augmentent et les marchés actions baissent (voire une seule action baisse), les possibilités sont multipliées de trouver de véritables solutions sécurisantes et attractives en termes de rendement. La seule contrainte reste bien sûr la durée d’immobilisation des fonds.
Cette période a engendré de nouvelles solutions dont le capital ainsi et/ou les coupons sont garantis. Certains produits structurés sont donc à considérer dans les solutions sécurisées.
Une solution donc intéressante dans une période ou les marchés actions sont peu lisibles…
Les PME non cotées peut être considéré comme un investissement de diversification intéressante. Elles génèrent un rendement potentiellement très important. Il est coutume de proférer une diversification dans la bonne gestion du patrimoine. Généralement, investir dans une PME nécessite d’avoir un cahier des charges adapté et une connaissance accrue du secteur d’activité et de l’entreprise en question.
Investir sur une, voire plusieurs sociétés non cotées en bourse, permet donc de générer un rendement potentiellement plus important. Cela est dû au stade de développement de la société, sa visibilité…
Les sociétés non cotées n’ont par définition pas la même taille ni la même visibilité. Investir dans une société non cotée vous expose à un risque parfois important.
Il faut avoir conscience que ce type d’investissement est très risqué. En contrepartie, la rentabilité peut être au rendez-vous.
Il existe également des fonds de sociétés non cotés tel des Fonds Communs de Placements à Risque (FCPR : FIP et FCPI).
Dans le cadre d’une diversification, cela permet de changer de stratégie et d’aller chercher potentiellement un e rentabilité que vous ne pourriez pas avoir ailleurs. Il faut être très sérieux sur le cahier des charges employé pour le choix de ou des sociétés.
TRI 10 ans : 9,7 %
Rendement très variable pouvant être supérieur à 10 %
Que vous investissiez en 1990, 2000, 2010 votre Taux de Rendement Interne (TRI), la volatilité d’un actif et le rendement ne sont évidemment pas les mêmes. Votre choix de placement dépend évidemment de votre objectif mais également de la période ou du moment à laquelle vous investissez.
Il est également évident que si vous n’arbitrez pas et laissez vos actifs pendant 40 ans, cette volatilité va être lissée. En règle générale, le risque rémunère davantage.
Evidemment, bien des inconnues subsistent en cette période particulière.
Avec la crise liée au Covid 19, beaucoup de choses ont changé.
Les questions relatives à 2023 sont liés au taux directeurs qui pourraient encore augmenter dans l’année. Autre élément important : l’inflation et le fait de le juguler plus ou moins tôt. Il est clair que le paradigme a changé.
Les propositions devenus réflexes pour nos clients ont dû être revisités afin de profiter des opportunités actuelles.
Cet article n’est évidemment pas exhaustif et liste rapidement des classes d’actifs avec lesquels nous travaillons régulièrement. Il est important de partir d’un bilan patrimonial pour mieux appréhender les possibilités .
Pour connaître quels sont les placements adaptés à vous, n‘hésitez pas à nous suivre pour bénéficier de nos articles les plus récents.
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